La Dearg Due (rouge raison si on traduit en irlandais ou certains disent meunier rouge) est un Vampire Irlandais, qui nous vient des légendes celtiques. La Dearg Due est une jeune femme, qui a été forcé de se marier. Par ce malheur, elle en meurt.
Elle retourne à la vie et va tuer son père et son mari.
Histoire: une jeune femme très belle, aimait un berger. Ils s’étaient mutuellement promis en mariage. Mais son père l’avait promis à un riche seigneur, sans cœur. Elle fut marié à celui ci et dépérit. Elle était à peine mort que son mari, trouva une autre épouse. Son père trouvait du rang qu’il avait gagné avec le mariage de sa fille. Et seul, le berger pleurait la belle. Un an après, elle revient de l’au delà et se vengea. Elle aspira la vie de son pére avec sa bouche alors qu’il dormait et tua avec violence le seigneur au qu’elle elle était marié.
Dans le folklore celtique, leanan (amante, succube, concubine) Sidh (l'autre monde)(irlandais) ou Lhiannan shee (écossais) est une terrible fée de la destinée.
Leanan Sidh est une femme à la beauté sans pareil, souvent décrite rousse. Elle séduit les artistes, elle devient leur muse, leur amante. Grâce à elle, les artistes sont plus sensible, plus douée dans leur art. En contre partie, elle aspire leur vie, ils deviennent fou et ils meurent prématurément.
Elle est souvent associé au mythe des vampires par le fait qu’elle aspire la vie de l’artiste. Et au monde des démons, celle des succubes car elle est une amante gourmande
Témoignage d’une femme de la région :
«J’ai été vraiment surpris de voir ce que j’ai vu (à l’époque les grilles en forme de cage étaient encore intactes), il était beaucoup plus grande et une structure plus impressionnante que je m’y attendais, un monument plutôt que qu’une simple pierre tombale. Nous y sommes restés quelques minutes, puis, après avoir vu assez, nous avons commencé à s’éloigner.
« C’est alors que j’ai remarqué un personnage à travers les arbres à ma gauche. La figure venait vers nous. J’ai commencé à avoir peur, craignant que cela pourrait être un garde-chasse. Cependant,j’ai réalisé que c’était une femme. La seule chose étrange était qu’elle semblait glisser plutôt que marcher, et déplacé très rapidement à ce qui semblait être un rythme de marche rapide, bien étrangement ses jambes ne semblent pas se déplacer du tout. De plus notable était un manque inquiétant de son, et ce, malgré le fait que le sol était recouvert de brindilles, des feuilles séchées et les fougères à travers lequel le mouvement était impossible sans faire de bruissements et craquements.
Elle nous regarda un long moment avant de disparaitre.
Évêque de Manchester :
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EUROPE DU NORD
ECOSSE
Le Burach Bhaoi est une sangsue ou une anguille vampirique. Il est décrit de grande taille pour l’espèce (sangsue ou anguille), avec pour caractéristique des yeux partout sur le corps ou 9 oeils (Burach Bhadi ou Manille Wizard). Il vit dans les cours d’eau ou les lacs des Highlands (Ecosse, Grande Bretagne). Il se fixe aux jambes des chevaux traversant la rivière ou tous autres espèces au sang chaud. Puis ils les paralysent, les noient et enfin aspirent leur sang.
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ROUMANIE
Vlad IV est un prince de Valachie, en Roumanie, au XV°siècle. Il vient d’une famille, qui faisait partit de l’ordre des Dragons, qui donnera « Dracula » dans le roman de Bran Stocker (histoire d’un conte Vampirique) . Son père avait rétablit la paix avec les Ottomans (les turcs). En 1448, il monte sur le trône de Valachie, mais il sera expulsé. Alors il reviendra avec une armée en 1456, pour garder sa place. Il va se servir de la violence et la cruauté, pour réunifier le territoire et centraliser le pouvoir. Il avait donné pour ordre que les punis soit torturés, de toutes les manières possibles et imaginables (épluché, entaillé, cuisiné…), et même enterrer vivant. Mais sa spécialité empaler les blessés de guerres, les opposants, les mendiants… Un soldat sur 12 de sa propre armée été sacrifié pour encourager les autres à ne pas perdre la bataille. Son peuple et ses hommes étaient terrifier, et lui obéissait sans osciller. C’est pour cela que les habitant l’appela « l’empaleur », dans la langue locale « empaleur » se dit « tepes », soit Vlad Tepes.
Puis en 1462, il veut plus de territoire. Il brise l’accord de son père et envahit la Turquie par le Danube. Les turcs envoient alors des émissaires. Dans les récits, on raconte, qu’il fera clouer les turbans des émissaires Turcs sur leur crane. Car les turcs ne souhaitaient pas les retirer en la présence du prince de Valachie. Ce qui bien sur déclencha la colère des turcs, qui envahirent la Valachie. L’armé de Vald Tepes était beaucoup moins forte en nombre, alors il brûla ses propres terres et empoisonna les eaux pour ralentir l’armée Turcs. Mais les turcs repartiront devant le massacre, les légendes disent 20milles turcs empalées aux abords du Danube. Mais, un du frère de Vlad aidait des Turcs, chassa Vlad Tepes de son trône. La légende dit que la femme de Vlad Tepes se donna la mort pour se sauver de la rage des Turcs, en se jetant du haut de la falaise. Par la suite, il sera retenu prisonnier pendant douze ans. Enfin, à son retour en Valachie, il remonte sur le trône en tant que prince, mais il y sera tuer au combat en décembre 1476. Le sultan turc mettra sa tête sur une pique.
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HONGRIE
La comtesse sanglante est une des premières vraies histoires de Vampires rapportées. Était elle Vampire ou malade ? Nul, ne le sera car son histoire est aussi vraie qu’étrange.
Erzébeth Bathory, est née en 1560, elle appartenait à une famille de la haute noblesse. Son enfance fut bercée entre traditions, folklore (magie) et des ancêtres très particuliers. Ses ancêtres avaient pour traits caractéristiques être des brutes sanguinaires sur les champs de batailles, des obsédées sexuelles et des noblesses sans loi ni limite. En bref, certains membres de sa famille avaient de graves problèmes psychiatriques. Sur un plan médical, certains racontent, qu’Erzébeth passait sa vie accablé par de violents maux de tête, certains parlent aussi de crises d’hystéries. Erzébeth Bathory était d’une beauté sans pareil. Elle était solidaire, froide, discrète mais très sensuelle. Elle était bisexuelle, d’après certains, cette double sexualité lui aurait été enseignée par une de ses tantes lors de rituelles. Ces rituelles auraient été des rites païens plutôt sanguinaires, qui avait pour but de se nourrir du sang de
A l’age de 14ans, elle tombe enceinte pour maître au monde cette enfant et éviter le scandale. Elle était alors amenée secrètement dans un château, ou pendant plusieurs mois, elle est dite souffrante. L’enfant sera alors donné à une nourrice. A tout juste 15 ans, elle se marie avec le comte Férencz Nàdasdy (le héros noir de la Hongrie), lui était âgé d’une vingtaine d’année. Malgré ce mariage organisé, la comtesse a pu garder son nom de jeune fille. Ils vécurent au château de Csejthe en Hongrie. Elle mit au monde deux enfants de son époux qu’elle chérissait profondément. Cependant, le comte passait beaucoup de temps hors du château à cause des batailles et campagnes guerrières. Pendant son absence, elle flirtait et Thorko le dévoué servant d’Erzébeth l’initia à l’occultisme et à la sorcellerie.
Quand elle eu 26 ans, il est dit qu’elle disparut plusieurs semaines avec un homme, que les villageois disaient possédaient par le démon ils le disaient « Vampire ». Puis, ils étaient dits qu’elle pratiquait des séances de torture, avec une femme déguisait en homme que nul ne semblait connaître. Plus le temps passé plus, elle aimait pratiquer des séances de tortures sur ses femmes de chambre en guise de punition. Son mari n’était pas réticent à ce type de pratique.
En 1600, après la mort de son époux, qu’elle chérissait profondément. Elle chassa sa belle-mère et envoya ses deux enfants chez des parents. C’est à ce moment que commença la période de torture aidée par son fidèle serviteur Thorko et de sa nourrice Ilona Joo. Erzebeth Bathory avait très peur de perdre sa beauté, son éléganceet de vieillir. Il fut relaté que, pendant qu’une de ses servantes la coiffait, celle-ci lui tira trop fortement ses cheveux. Comme Bathory détestait que ses servantes fassent des erreurs, elle la frappa si violemment que du sang jaillit de son nez et atterri sur la main de la comtesse. Elle a alors constatait que le sang sur sa peau, donnait jeunesse et souplesse. Eelle appela Thorko, pour attacher la servante et la fit saigner à mort. Le sang ainsi récupéré dans une grande cuve, lui permis de se faire un bain, elle sentie en elle un plaisir morbide. Pendant près de dix ans elle fit la chasse aux belles jeunes filles vierges, elle les attira au château avec des promesse d’emplois. Mais une fois au château, elles étaient tout d’abord, les servantes de la comtesse, elles devaient lécher son corps après son bain de sang, partagé sa couche… puis qu’en elles étaient trop faible, elle étaient torturées de différentes manières pour extraire le plus de sang possible, pour assouvir les besoins de la comtesse. Celle-ci n’était pas seul, elle était aidé par Thorko, son fidèle serviteur, sa nourrice Illona et une sorcière nommée Dravula. Les corps de ces. Mais ses actes horribles finirent par ce savoir, il y avait bien trop de chuchotis, de messe basse, que la haute noblesse se devait d’aller vérifier la véracité de ses dires ...
Après enquête, en 1611 son cousin, le comte Gyorgy Thurzo, est venu l’arrêter. Le conte Thurzo y découvrit plus de 50 corps de jeunes filles mortes, vidées de leurs sang et plusieurs filles enfermées dans les cachots prêtes à êtres sacrifiées, d’autres étaient à demi-mortes atrocement torturées. On estime le nombre des jeunes victimes entre 300 et 600.
En cette même année de 1611 Erzébeth Bathory passa en jugement mais refusa de plaider coupable ou même non coupable, elle refusa de se présenter à la cour et surtout refusait de parler. Avant de rentrer dans le mutisme, elle expliqua qu’au regard de son rang, elle avait tout droit sur la vie de ses servantes. Sa nourrice Joo, Thorko et d’autres complices furent condamné à mort pour la plupart décapités, incinérés ou brûlés vifs. Erzébeth évita, grâce à sa noble lignée, la peine de mort malgré les protestations du roi de Hongrie. La comtesse Erzébeth Bathory fut condamnée a être emmurée vivante dans son château cependant un petit trou permettait de faire glisser de la nourriture ou de quoi survenir à ses besoins. Elle y resta jusqu’à sa mort le 21 Aout 1614. Des témoins déclarèrent que sa beauté était restée semblable jusqu’à son dernier jour… Après sa mort, une légende assure qu’elle devint vampire au sens propre du terme et le château et ses environs restèrent longtemps maudits. Les détails de cette histoire sont conservés aux archives de Budapest (Hongrie).
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Silésien du début du dix-septième siècle exhumé comme Vampire après sa mort |
La Silésie est une province d’Europe centrale, située à cheval sur l’Allemagne, la République Tchèque et la Pologne actuelle. Cette zone a toujours eu un folklore très riche en revenants en corps et autres morts mâcheurs : c’est dans cette région d’Europe que le mythe du Vampire s’est considérablement développé. Johannes Cuntius, conseiller municipal de Pentach à la fin du XVIe siècle, est un des premiers cas répertoriés avec précision de ce qui était alors appelé revenant ou spectre (le terme vampir va être pour la première fois utilisé officiellement en 1725, pour le cas de Peter Plogowitz).
Johannes Cuntius était un homme respecté dans la ville de Pentach (ou Pentsch), en Silésie : il était conseiller municipal, avait plusieurs chevaux et une charrette, et était parfois envoyé faire des missions par le maire. Un jour, alors qu’il était avec son domestique dans son écurie et qu’ils étaient en train de ferrer un des chevaux, celui-ci fit une violente ruade, envoyant les deux hommes à terre. Cuntius, qui avait 60 ans et était plus durement touché, délira un certain temps, se plaignant qu’il brûlait et que ses nombreux péchés ne seraient jamais pardonnés. Selon lui, la majeure partie d’entre eux étaient plus importants que tous ceux de la Terre réunis. Il continua à délirer et tomba très gravement malade. Des rumeurs commencèrent à courir sur lui car malgré toutes ses lamentations, il refusait obstinément de se confesser ou de voir un homme d’église. On l’accusa d’avoir scellé un pacte avec le Diable.
La nuit de sa mort, à trois heures du matin, un chat noir surgit soudain dans sa chambre et lui sauta au visage, le griffant si sauvagement que son fils eut du mal à le détacher de la tête de son père. Le chat parut disparaître aussi vite qu’il était apparu, et quand le fils reporta son attention sur son père, celui-ci était mort. Ses amis se rassemblèrent pour lui payer une sépulture à droite de l’autel. Cependant, à peine ses funérailles venaient de commencer qu’une violente tempête se leva, des rafales de vent et de neige compliquant la mise en terre. Dès que le corps fut enterré, la tempête se calma.
Cependant, les rumeurs ne disparurent pas. On raconta qu’une femme avait été agressée dans son sommeil par un incube ayant l’aspect de Cuntius, avant que celui-ci ne fusse enterré. Par la suite, un homme qui s’était endormi dans son salon se réveilla en sursaut : il avait entendu une voix lui disant « je ne sais pas ce qui me retient de te battre jusqu’à la mort », et il rapprocha cette voix de celle de Cuntius.
Un peu plus tard, les patrouilles de gardes de la ville racontèrent que souvent, la nuit, ils entendaient un véritable tintamarre venant de la demeure de Cuntius, comme si on renversait des meubles ou que l’on projetait des objets à terre. Les chevaux semblaient très nerveux dans les écuries, et les chiens hurlaient à la mort ; au petit matin, on trouvait la porte de Cuntius grande ouverte. On raconta également qu’il sautait et courait sur les toits et les murs des maisons, faisant trembler les murs, et au matin on retrouvait d’étranges empreintes dans la neige. Une autre fois, il apparut à l’un de ses amis, qui était également le parrain de son plus jeune fils ; ceci afin de le prévenir qu’il avait laissé à son fils un coffre contenant 415 florins, et que si son fils n’en touchait pas l’intégralité, le malheur serait sur son parrain. Il apparut aussi à un charretier, vomissant des flammes pour l’effrayer, et lui mordit le pied tellement fort qu’il le laissa estropié. De nombreuses autres apparitions furent ainsi recensées.
Le fantôme de Cuntius, selon les récits, commença alors à agresser des personnes dans leur sommeil, les laissant sans force, quelquefois en pressant ses lèvres contre celles de ses victimes, apparaissant sous la forme d’un nain. Il fit tourner le lait dans les cruches, ou le changea en sang ; piétina des linges dans la boue, les laissant sales et ensanglantés, étrangla des vieillards, malmena des nouveau-nés dans leurs berceaux et agressa des femmes sous la forme d’un incube, suça le sang de nombreuses vaches et noua leurs queues, tua des chiens en leur cassant la tête sur le sol, dévora des poules…
Les habitants de la ville allèrent se plaindre et se rendirent à la tombe de Cuntius. La pierre tombale était renversée sur le côté et on pouvait voir de nombreux trous dans la terre, gros comme le terrier d’un rongeur. On le déterra, ainsi que les cadavres de ses voisins, pour constater la différence entre le spectre et des corps « sains ». Alors que les corps des autres étaient très décomposés, celui de Cuntius paraissait encore vivant : sa peau était tendre et rougeaude, ses articulations souples. On plaça un bâton sur sa poitrine, et on constata que les mains de Cuntius l’agrippèrent très rapidement. Ses yeux s’ouvraient et se refermaient, et quand on ouvrit une veine dans sa jambe, le sang en jaillit comme il l’aurait fait d’une personne vivante. Enterré le 8 février, Cuntius aurait dû être bien décomposé, car l’exhumation se fit le 20 juillet.
Les autorités saisies déclarèrent que le corps devait être brûlé. On essaya alors de le sortir de la tombe, mais il était si lourd que les cordes utilisées pour l’en sortir cassèrent. Après de nouveaux efforts, on parvint à remonter le cadavre et à le jeter dans le feu, mais il ne se consumait pas : le bourreau dut le sortir des flammes avec un crochet et le démembrer pour que la combustion puisse se faire. Après cela, le spectre de Cuntius (à l’époque, le terme "vampire" n’était pas utilisé officiellement) cessa de nuire.
Les morts mâcheurs étaient des cadavres possédés par des démons. Il n’est pas fait mention que des bruits de mastication ont été entendus sortant de la tombe de Cuntius, mais plusieurs références au Diable sont faites dans le récit des faits :
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